Je pose cette question en guise d’introduction, parce que, bien évidemment, je suis personnellement très concerné: j’ai eu un cancer à 43 ans, heureusement complètement guéri grâce à la médecine moderne occidentale. C’est le côté “chimique”, souvent décrié, de cette médecine qui m’a guéri de manière extrêmement efficace (rémission totale), rapide (en quelques mois) et de manière “très confortable” (très peu d’effets secondaires). Un comprimé Glivec par jour, un peu de douleurs à l’estomac, des crampes musculaires pendant 2 mois et une fatigue importante pendant plusieurs mois. Rien de terrible, comparé à une chimio, une radiothérapie, une greffe de moëlle, une amputation, etc…
Je suis, vous le savez, concerné à plus d’un titre car mon fils Pierre est actuellement en cours de traitement pour un cancer des os (Sarcôme d’Ewing).
Et avant que ces évènements me tombent sur la tête?… Je dois bien avouer que je ne me tracassais pas beaucoup pour le cancer, probablement comme la plupart d’entre nous. Aujourd’hui, j’y pense régulièrement, je lis, je me forme sur le sujet, je change mon alimentation, ma manière de réagir face aux évènements stressants de la vie, etc… Et je me fais parfois la réflexion que “les autres” ne se tracassent pas beaucoup pour le cancer. Puis je me dis que, finalement, c’est comme moi, “avant”. Et un peu aussi, comme moi “maintenant” pour d’autres maladies (je ne me tracasse pas beaucoup pour le diabète, le cholestérol, l’infarctus…). Et dans un sens, c’est bien ainsi: il faut vivre joyeux, heureux, sans toujours penser à ce qui pourrait ne pas aller. Se morfondre et vivre dans la crainte perpétuelle ne ferait qu’affaiblir notre système immunitaire et précipiter les maladies que nous craignons…
Pourtant, le petit tableau suivant suscite quand même une certaine réflexion:
(source: Les aliments contre le cancer p. 18, et Time magazine)
D’autres sources (Anticancer, p. 15 et d’autres références de ce bouquin, cf “Introduction 1,2”) précisent qu’une personne sur quatre mourra d’un cancer (1 sur 3 aura un cancer). Il s’agit de statistiques pour nos pays d’occident (Europe, Etats-unis, Australie…), les autres pays étant moins menacés.
Faut-il avoir peur? Quels sont les facteurs de risques? Que faire pour limiter les risques?
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Oui, je suis concernée par le cancer puisqu’il y a 6 ans il m’a attendu au tournant!
Mais avoir une positive attitude nous donne (à mon avis) 99% de chances de le vaincre!
Et après, la vie prend un tout autre sens!
Alors ne nous disons pas : “ca n’arrive qu’aux autres” mais limitons les risques qu’il nous prenne dans ses griffes!
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J’avais 6 ans lorsque maman est décédée d’un cancer à l’äge de 48 ans. Je me suis sentie concernée dès l’âge adulte. J’ai mis le plus de chances de mon côté en différents domaines, spychologique notamment lors de gros problèmes de vie, alimentaire aussi. La macrobiotique que j’ai découverte un peu par hasard ( mais le hasard existe-t-il ?),cette découverte là m’a aidée à me guérir de différents maux, migraines liées notamment à la digestion qui était très difficile, tout le système digestif était défectueux. Après quelques mois tout était rentré dans l’ordre, une réelle et bonne surprise pour moi. Depuis je me suis tournée vers le “bio”, cela fait +/- 30 ans.
Dès lors je pouvais re-manger toutes sortes d’aliments que je ne supportais plus, notamment les choux. Quel bonheur puisque ils sont bien cotés “aliments anti-cancer”. Actuellement depuis plusieurs années nous mangeons végétarien sans être “ultra”et nous sommes en bonne santé.
Nous sommes bien conscient aussi que ça n’arrive pas qu’aux autres.
Nous gardons une vie active et beaucoup de marche. Je pense que la nature peut nous rendre un équilibre et nous garder en forme physique.
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J’ai très peur de cette maladie!
J’ai souffert de voir mon papa atteint du cancer du foie (trop de fer dans le sang). Malgré les prises de sang faites tous les lundis une fois par semaine et une greffe de foie il a eu le cancer des os et ce fut très dur et très difficile à assimilé. Je n’avais que 25 ans et ma soeur 22 quand il nous a quitté. Maintenant des années ont passé.
Tout est entré en compte après sa greffe quand il est rentré à la maison; l’alimentation, le port du masque au début, la désinfection totale, le contact avec les autres. Changement de vie. Lui aussi avec ma maman sont allé à une émission de télévision à Bruxelles. C’était un débat sur les greffes suite au cancer. C’était en 1990 je crois.
Les viandes que ma maman cuisait pour mon papa devait être eccessivement cuites , les légumes devaient être lavé une dizaine de foix etil y avait d’autres choses encore.
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Nous sommes tous concernés :
L’OMS prévoit que le nobmre de cas de cancer va doubler d’ici 2020 !
http://www.rtlinfo.be/news/article/88151/–Les+cas+de+cancer+vont+doubler+dici+2020
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